
Soudain, j’aperçois près d’un glacier une forme emprisonnée dans la banquise. Je me précipite. Le blizzard redouble, mais je pense avoir reconnu une forme humaine. Je creuse la paroi cristalline avec ma pioche, et peu à peu je dégage le corps. C’est incroyable : un homme des cavernes emprisonné depuis des siècles dans le froid. Il est vivant ! Quelle surprise ! Stupéfaction.
Peu à peu, il se dégivre, sauf son sexe qui reste désespérément dur. Attends, dis-je, je vais te réchauffer. Nous nous dégivrons mutuellement le sexe. C’est agréable. Force est de le constater. Tu aimes les échecs, demande-je ? Grrrr ! Répond-il. Il se tape la poitrine velue avec sa main disponible.
Il est assez vigoureux. Il a dû chasser de nombreux mammouths, j’aime qu’il prenne soin de lui. Soudain, nous jouissons : de longs jets, puissants, fournis. Le sperme à peine échappé s’est figé dans l’air, comme un stalactite fou partant du gland. C’est fastidieux à nettoyer.